Décathlon, c’est décidé, je retourne chez ma mère ! C’est fini entre nous ! Non pas parce que je n’aime pas tes magasins, mais parce que toi tu ne m’aimes pas assez. Pas assez pour te donner un peu de mal pour moi. Rappelles-toi, tu m’as déjà fait le coup (plusieurs fois) : « oui, pas de problème, je vous prend votre vélo, mais il y en aura pour 8 jours ».
Et là pareil, je t’ai dit pourtant que j’ai absolument besoin de mon vélo samedi (dans 3 jours), mais non, désolé, ce n’est pas possible. Et déjà, lundi j’ai appelé un autre de tes magasins où on m’a servi le même refrain. Entre lundi et aujourd’hui, j’ai tenté une petite infidélité, je suis allé chez le vélociste de ma ville. Oh, il m’a accueilli gentiment, était prêt à m’aider tout de suite, si ce n’était que le boitier de pédalier est spécifique à Décathlon et qu’ils n’ont pas l’outillage adéquat. Dommage.
Je vous explique. Ça fait deux sorties dominicales que j’entends un bruit au niveau de mon pédalier à chaque tour de pédale, un clic, ou un tic. Bon, pas un crac, mais quand même ça fait tic-tic-tic-tic… (ou clic-clic-clic-clic…). Au début, intrigué, puis à force, inquiet. D’autant plus que samedi, oui celui qui vient, je participe à la grande rando de l’année la « Levallois-Honfleur » (rappelez vous, je vous en ai parlé). Or, Levallois-Honfleur, c’est 217 km, et je n’ai pas envie (d’ailleurs qui l’aurait) de me retrouver avec une casse de matériel au beau milieu du parcours. Donc j’appréhende ces tic-tic-clic-clic.
Tout ça pour dire que je ferai la rando de samedi avec mon vélo qui fera tic-tic-clic-clic puisque je ne peux pas faire autrement, mais après ça, je me mettrai en quête d’une nouvelle monture, une qui puisse être soignée chez n’importe quel vélociste.
😀
J’aime beaucoup le ton ! L’humour est au rendez-vous ! 😉